OBJECTIF
Dans le contexte actuel, le champ d’intervention d’un architecte devient de plus en plus difficile à cerner. Ouvert à toutes sortes de commandes et de manières d’exercer, il doit désormais faire preuve d’une grande adaptabilité afin de répondre aux évolutions du métier. Son apprentissage ouvre la possibilité d’intégrer d’autres champs d’intervention aux formats disciplinaires différents permettant aux futurs architectes d’intégrer un monde professionnel en pleine mutation. Le studio de projet S1 devient en cela l’occasion privilégiée de construire le cadre pédagogique permettant aux nouveaux arrivants d’acquérir des compétences et des savoir-faire de base nécessaires à leur future pratique.
Plusieurs questions se posent :
Comment faire découvrir aux nouveaux arrivants l’architecture tout en acquérant des compétences de base dans un contexte évolutif ?
Comment apprenons-nous à concevoir comme architecte aujourd’hui ?
Quelles sont ces compétences de base ?
Comment pouvons-nous apprendre à les utiliser dans un cadre professionnel plus large que la simple production spatiale?

Il semblerait qu’une des compétences les plus importantes pour un architecte aujourd’hui est de savoir concevoir à travers différentes opérations intellectuelles de manipulation et de transposition d’un champ de savoir-faire vers quelques chose de tangible.

Ce processus n’est ni facile ni automatique. Il nécessite de la part des étudiant.e.s, futurs architectes, une nouvelle attitude envers l’apprentissage d’eux-mêmes et de leurs capacités à se mettre en jeu. Cet état d’esprit devient indispensable pour se positionner d’une manière pertinente et autonome envers des problématiques auxquelles ils seront confrontés en tant qu’architectes.

Le travail de conception est avant tout un état d’esprit critique permettant aux étudiant.e.s de se positionner d’une manière pertinente au regard des problématiques posées. La conception architecturale a un rapport très étroit avec notre ressenti et nos situations vécues pour les intégrer dans notre attitude au monde. Entre démarche personnelle et collective, elle doit jongler en permanence entre la conjecture objective du monde qui nous entoure et les désirs d’une société en plein changement.
Elle est constamment nourrie, das un esprit critique, par l’acquisition progressive d’une culture générale, et plus précisément d’une culture architecturale historique et contemporaine.

Comment organiser et identifier le champ intentionnel qui guide nos choix d’architecte ? Comment pourrons-nous les argumenter clairement en les défendant à travers notre production ?
Pour cela, il semble primordial de fonder un positionnement en faisant par soi-même. Ce premier studio a pour objectif de développer la capacité des étudiants à conceptualiser ce qu’ils recherchent ou ne connaissent pas encore mais qui petit à petit va se clarifier.

Il s’agit donc de considérer les premiers moments de Licence comme des temps d’expérimentation, permettant à l’étudiant de développer plusieurs attitudes de conception pour un même objectif. Cela lui permettra notamment de traduire son idée par une approche sensible et raisonnée de la matière, d’aborder les questions d’usages intuitivement en analysant les manières d’habiter et d’étudier les opérations de conception indispensables pour se projeter dans quelque chose de non-prédéfini.

Enfin il s’agira de partager son questionnement avec les autres en l’exposant et en l’argumentant afin d’engager une première démarche critique pertinente et constructive.

CONTENU
Ces compétences feront l’objet du travail de studio et seront décortiquées à travers plusieurs exercices. Ils permettront d’expérimenter le rapport entre une intention et sa permanence, les amenant à accepter de prendre des risques. Les exercices seront également l’occasion d’appréhender les lois et les propriétés des différentes « matières à projet » (ce que l’étudiant.e produit) pour questionner de façon intuitive plusieurs thèmes qui feront surface tout long du semestre. Ces premiers essais, bien spécifiques à notre pratique, associeront démarche intellectuelle et savoir-faire concret.
Cette méthode ne se base pas sur la création d’un objet pré-établi, mais tente plutôt de sensibiliser les étudiants à résister à l’injonction de produire de la forme pour la forme. Elle garantit les dynamiques d’expérimentation et de recherche et permet à l’étudiant de se questionner dans une démarche de conception itérative (je propose, fabrique, reçoit la critique, re-propose, re-fait, reçoit de nouveau la critique, ….).

Le semestre s’organise autour de trois exercices de durée variable, développés en séquences de travail collectif et individuel.
Ces exercices de projet sont accompagnés à priori ou à posteriori par des cours magistraux proposés par les enseignants du studio de projet et/ou par des enseignants d’autres domaines d’études (plasticiens, artistes, sociologues, géographes, historiens, ingénieurs…). Le travail de projet sera associé et relation avec la totalité des autres enseignements du semestre. Les exercices sont donc à considérer comme transdisciplinaires.

VALIDATION
Les étudiant.e.s sont évalué.e.s individuellement sur les acquisitions progressives des compétences et des savoir-faire de base nécessaires à la conception architecturale au fur et à mesure des séances et des exercices.

Pour chaque exercice de projet, les enseignant.e.s font des commentaires à l’oral sur le travail (séances de TD et rendus) et remplissent une fiche individuelle d’acquisition des compétences propres au S1.
A l’issue du semestre (commission d’orientation), une note sur 20 et une appréciation écrite seront transmises aux étudiant.e.s.

L’évaluation finale tiendra aussi compte :
# l’assiduité de l’étudiant.e (chaque absence doit être justifiée auprès du service des études)

# la progression de l’ étudiant.e, concernant :
– son implication durant les échanges et le travail (individuellement et en groupe),
– le respect des consignes,
– sa capacité à les questionner,
– sa capacité à être propositionnel dans le projet,
– sa capacité à faire preuve de l’acquisition d’une méthode et d’une démarche de projet, et de l’acquisition d’un début d’autonomie dans le travail.

Un rendez-vous individuel avec chaque étudiant est programmé au cours du mois de novembre.

La note finale (sur 20) prendra en compte:

[ 11.1 ] Bases de données initiales  (coefficient 1)
– les cours magistraux (à travers les exercices demandés par les enseignant.e.s des CM) >
– l’évaluation du carnet de bord
[ 11.2 ] atelier  (coefficient 4, non compensable)
– le studio de projet (contrôle en continu)
[ 11.3 ] intensif  (coefficient 2, non compensable)
– l’évaluation de l’intensif > La Grande exposition
Un déplacement dans la métropole nantaise d’une journée est prévu dans le du courant semestre.

OBJECTIF
Dans le contexte actuel, le champ d’intervention d’un architecte devient de plus en plus difficile à cerner. Ouvert à toutes sortes de commandes et de manières d’exercer, il doit désormais faire preuve d’une grande adaptabilité afin de répondre aux évolutions du métier. Son apprentissage ouvre la possibilité d’intégrer d’autres champs d’intervention aux formats disciplinaires différents permettant aux futurs architectes d’intégrer un monde professionnel en pleine mutation. Le studio de projet S1 devient en cela l’occasion privilégiée de construire le cadre pédagogique permettant aux nouveaux arrivants d’acquérir des compétences et des savoir-faire de base nécessaires à leur future pratique.
Plusieurs questions se posent :
Comment faire découvrir aux nouveaux arrivants l’architecture tout en acquérant des compétences de base dans un contexte évolutif ?
Comment apprenons-nous à concevoir comme architecte aujourd’hui ?
Quelles sont ces compétences de base ?
Comment pouvons-nous apprendre à les utiliser dans un cadre professionnel plus large que la simple production spatiale?

Il semblerait qu’une des compétences les plus importantes pour un architecte aujourd’hui est de savoir concevoir à travers différentes opérations intellectuelles de manipulation et de transposition d’un champ de savoir-faire vers quelques chose de tangible.

Ce processus n’est ni facile ni automatique. Il nécessite de la part des étudiant.e.s, futurs architectes, une nouvelle attitude envers l’apprentissage d’eux-mêmes et de leurs capacités à se mettre en jeu. Cet état d’esprit devient indispensable pour se positionner d’une manière pertinente et autonome envers des problématiques auxquelles ils seront confrontés en tant qu’architectes.

Le travail de conception est avant tout un état d’esprit critique permettant aux étudiant.e.s de se positionner d’une manière pertinente au regard des problématiques posées. La conception architecturale a un rapport très étroit avec notre ressenti et nos situations vécues pour les intégrer dans notre attitude au monde. Entre démarche personnelle et collective, elle doit jongler en permanence entre la conjecture objective du monde qui nous entoure et les désirs d’une société en plein changement.
Elle est constamment nourrie, das un esprit critique, par l’acquisition progressive d’une culture générale, et plus précisément d’une culture architecturale historique et contemporaine.

Comment organiser et identifier le champ intentionnel qui guide nos choix d’architecte ? Comment pourrons-nous les argumenter clairement en les défendant à travers notre production ?
Pour cela, il semble primordial de fonder un positionnement en faisant par soi-même. Ce premier studio a pour objectif de développer la capacité des étudiants à conceptualiser ce qu’ils recherchent ou ne connaissent pas encore mais qui petit à petit va se clarifier.

Il s’agit donc de considérer les premiers moments de Licence comme des temps d’expérimentation, permettant à l’étudiant de développer plusieurs attitudes de conception pour un même objectif. Cela lui permettra notamment de traduire son idée par une approche sensible et raisonnée de la matière, d’aborder les questions d’usages intuitivement en analysant les manières d’habiter et d’étudier les opérations de conception indispensables pour se projeter dans quelque chose de non-prédéfini.

Enfin il s’agira de partager son questionnement avec les autres en l’exposant et en l’argumentant afin d’engager une première démarche critique pertinente et constructive.

CONTENU
Ces compétences feront l’objet du travail de studio et seront décortiquées à travers plusieurs exercices. Ils permettront d’expérimenter le rapport entre une intention et sa permanence, les amenant à accepter de prendre des risques. Les exercices seront également l’occasion d’appréhender les lois et les propriétés des différentes « matières à projet » (ce que l’étudiant.e produit) pour questionner de façon intuitive plusieurs thèmes qui feront surface tout long du semestre. Ces premiers essais, bien spécifiques à notre pratique, associeront démarche intellectuelle et savoir-faire concret.
Cette méthode ne se base pas sur la création d’un objet pré-établi, mais tente plutôt de sensibiliser les étudiants à résister à l’injonction de produire de la forme pour la forme. Elle garantit les dynamiques d’expérimentation et de recherche et permet à l’étudiant de se questionner dans une démarche de conception itérative (je propose, fabrique, reçoit la critique, re-propose, re-fait, reçoit de nouveau la critique, ….).

Le semestre s’organise autour de trois exercices de durée variable, développés en séquences de travail collectif et individuel.
Ces exercices de projet sont accompagnés à priori ou à posteriori par des cours magistraux proposés par les enseignants du studio de projet et/ou par des enseignants d’autres domaines d’études (plasticiens, artistes, sociologues, géographes, historiens, ingénieurs…). Le travail de projet sera associé et relation avec la totalité des autres enseignements du semestre. Les exercices sont donc à considérer comme transdisciplinaires.

VALIDATION
Les étudiant.e.s sont évalué.e.s individuellement sur les acquisitions progressives des compétences et des savoir-faire de base nécessaires à la conception architecturale au fur et à mesure des séances et des exercices.

Pour chaque exercice de projet, les enseignant.e.s font des commentaires à l’oral sur le travail (séances de TD et rendus) et remplissent une fiche individuelle d’acquisition des compétences propres au S1.
A l’issue du semestre (commission d’orientation), une note sur 20 et une appréciation écrite seront transmises aux étudiant.e.s.

L’évaluation finale tiendra aussi compte :
# l’assiduité de l’étudiant.e (chaque absence doit être justifiée auprès du service des études)

# la progression de l’ étudiant.e, concernant :
– son implication durant les échanges et le travail (individuellement et en groupe),
– le respect des consignes,
– sa capacité à les questionner,
– sa capacité à être propositionnel dans le projet,
– sa capacité à faire preuve de l’acquisition d’une méthode et d’une démarche de projet, et de l’acquisition d’un début d’autonomie dans le travail.

Un rendez-vous individuel avec chaque étudiant est programmé au cours du mois de novembre.

La note finale (sur 20) prendra en compte:

[ 11.1 ] Bases de données initiales  (coefficient 1)
– les cours magistraux (à travers les exercices demandés par les enseignant.e.s des CM) >
– l’évaluation du carnet de bord
[ 11.2 ] atelier  (coefficient 4, non compensable)
– le studio de projet (contrôle en continu)
[ 11.3 ] intensif  (coefficient 2, non compensable)
– l’évaluation de l’intensif > La Grande exposition
Un déplacement à pied dans la métropole nantaise d’une journée est prévu dans le du courant semestre.

OBJECTIF
Vous serez amené(e)s à définir un projet curatorial. Vous devez ensuite organiser et mettre en forme les documents et supports nécessaires à sa réalisation. Vous devez notamment veiller à les rendre communicables et compréhensibles. Vous concevrez en parallèle le dispositif spatial qui accueille l’exposition. Vous veillerez à sa fabrication tout en négociant entre sous-groupes l’emplacement des installations dans la galerie. Les étudiants doivent individuellement écrire une revue critique de l’exposition avant de la démonter.

CONTENU
Les étudiants mettent au point une exposition qui témoigne du travail effectué pendant le semestre. Elle prendra forme dans la Galerie Loire de l’ENSA Nantes et elle reverra le support de présentation du travail du studio lors des Journées Portes Ouvertes (JPO) de l’Ecole.
Vous serez amenés à concevoir à la fois le contenu – le commissariat – que la forme de l’exposition – sa scénographie. Vous présenterez des documents et des supports préexistants ou nouvellement créés pour l’exposition, directement ou à travers des représentations. Ils construisent l’exposition avec matériaux accumules tout au long du semestre.

Vous serez amené(e)s à vous interroger (en l’objectivant) sur votre capacité à communiquer, à partager et à exposer la totalité des compétences et des savoir-faire acquis tout au long du premier studio de projet en vous appuyant sur une production concrète.
Ce dernier exercice sera aussi le moment privilégié pour évaluer vos capacités critiques envers une production architecturale.

VALIDATION
En continu et présentation finale

OBJECTIF
La capacité à concevoir visuellement / restituer / communiquer passe par l’apprentissage des outils numériques de représentation. Acquérir une pratique des logiciels de représentation et de communication, faire le lien entre ces logiciels et certaines de leurs applications concrètes : impression, édition, vidéo, web, fabrication 2D ou 3D

CONTENU
Le programme est structuré autour d’une découverte progressive des différents logiciels dédiés à l’infographie : image matricielle, acquisition, retouche photographique, outils de dessin numériques ; image vectorielle, traduction du bitmap en vecteur, outils de dessin vectoriel, spécificités et applications – découpe laser, prototypage ; mise en page et édition, codes typographiques, exploration des usages et des normes et des formats liés à l’impression. Les sujets proposés amèneront à explorer l’articulation entre les différents logiciels, conduisant à une visualisation de la chaîne graphique. Sur une, deux ou trois séances, ils consisteront en la réalisation d’un projet, à chaque fois différent, permettant d’appréhender de nouveaux outils, de les tester, de les manipuler, d’expérimenter, et de produire un résultat concret lié à un usage spécifique : édition print, web, livret, affiche, planche, découpe…
La confrontation avec le résultat des manipulations donne lieu à un échange et retour d’expérience, invitant les étudiants à développer leur sens critique en se posant les bonnes questions : enjeux, pertinence, sens…
À l’exploration de la suite logicielle spécifique à l’infographie, nous intégrons l’expérimentation d’outils annexes et connexes permettant d’ouvrir le champ des applications : navigateurs, éditeurs de texte, de code, console, lecteurs images et vidéos (viewers), acquisitions (scannérisation, importations photo, vidéo), éventuellement une initiation au design génératif (Processing).

Note des enseignants : au-delà d’une initiation aux logiciels, et de l’acquisition de savoir-faire, nous proposons une immersion dans leur potentiel, pour semer les graines d’une pratique durable et fertile :
– pour que ces outils ne soient pas cantonnés à leurs fonctions évidentes, mais qu’ils puissent servir directement au processus de conception ;
– pour que les étudiants les abordent et les utilisent de manière non dogmatique, en restant ouverts, à l’affût des accidents fructueux, de l’aléatoire, préparés à les confronter à leurs intentions ;
– pour que ces intentions restent toujours perméables à ce qui advient expérimentalement, qu’ainsi elles s’affinent ou se renforcent, s’orientent ou se retournent.

VALIDATION
Contrôle continu

OBJECTIF
Parmi les outils à disposition pour représenter l’espace architectural, la représentation manuelle par le dessin et la maquette se distingue par un rapport physique à la matière. Cette qualité de représentation propre au trait de crayon et à la maquette justifie son intérêt encore vif comme médian de conception et de représentation. Dans un contexte très largement dominé par la représentation numérique en 2 ou 3 dimensions, les outils manuels se sont ainsi repositionnés. Loin de vouloir prôner une technique plus qu’une autre de manière dogmatique, l’intérêt réside sans doute plus dans notre capacité à les maîtriser, à les dépasser afin de constituer des outils dérivés hybrides personnels.

– Acquérir des bases solides à la représentation manuelle (dessin et maquette) au travers de l’apprentissage des modes de représentations codifiés usuels, à différents stades du projet. Cet enseignement pourrait s’apparenter à un travail de gammes, portants sur les outils de représentation de l’architecte, en s’appuyant sur des exercices hebdomadaires développés par thème :
– Mesurer l’impact que porte la représentation dans la compréhension d’un projet d’architecture.
– Prendre conscience que le dessin manuel et la maquette nécessitent une vision dans l’espace, avec la capacité de passer du plein au vide, de la 2d à la 3d, du compact au déployé, …
– Donner envie d’exprimer ses intentions architecturales, en construisant un regard sensible et personnel.
– Utiliser la représentation manuelle, comme outil de représentation et de conception, en complément de l’outil numérique.

CONTENU
Contenu :
Deux ateliers de travaux dirigés en alternance :
Un Atelier dessin qui abordera tout à la fois la question des représentations codifiées et les marges de liberté qu’il convient de prendre pour atteindre une représentation sensible. Cette double approche rigoureuse et personnelle permettra une première expérience du trait, du support papier, de l’échelle de représentation… les séances construites de manière progressive aborderont en premier lieu un travail de redessin puis la construction de plans et coupes pour finir par une introduction à la représentation axonométrique.

Déroulement des séances :
Chaque atelier (dessin et maquette) sera décomposé en séances de 3 heures sur la base de thèmes identifiés. Les groupes d’une quinzaine d’étudiants seront constitués à partir des groupes du projet architectural. Les exercices seront communs à la promotion et selon un même rythme hebdomadaire. En revanche, les groupes n’auront pas d’enseignant référent afin de provoquer un roulement dans l’encadrement et permettre ainsi de multiplier les regards sur le sujet.

Le format A3 (29.7cm x 42cm), paysage (horizontal) est imposé pour l’ensemble des exercices, les documents seront récoltés en fin de séances et permettront d’évaluer la progression de chacun des étudiants. Par ce format aisément reproductible, l’ambition est de permettre d’appuyer un partage d’expérience et de points de vue. (Format type remis en annexe).

Le carnet de bord, outil transversale aux différents enseignements, sera le support des analyses et des recherches préalables aux exercices. On y retrouvera tout aussi bien des essais sur la question du trait, de la mise en page (schémas sur l’organisation des masses dessinées et des blancs préservés), compréhension préalable d’une coupe, des éléments de maquettes…

Un livret commun remis à chaque étudiant, au cours du premier semestre, permettra d’introduire le semestre et de donner la capacité à l’étudiant de mieux appréhender les enjeux portés par ces modes manuels de représentation.

Matériels requis :
– des feuilles à dessin sans grains format A3 (200 à 250g)
– Crayons à papier (4H – 2H – HB –2B)
– Règle graduée de 30 cm transparente.
– Equerre 30/60
– Carnet d’étude format A4.
– Règle métallique (large) de découpe pour maquette graduée de 40 cm.
– Cutter type OLFA L paquet de 10 lames.
– Un tapis découpe (40 x 60 cm)
– De la colle à bois à prise rapide.

VALIDATION
L’évaluation :
Les travaux seront réalisés dans le cadre des heures de TD à l’école. Ils devront être remis impérativement à la fin de chaque séance d’atelier identifiées par une évaluation (voir précisions ci-dessous) ; dans le cas contraire, la remise du document devra être accompagnée d’une justification formelle auprès de l’administration pour être pris en compte.
Six évaluations seront rendues au premiers semestres et 2 au second. La moyenne de ces évaluations permettra l’établissement de la note individuelle finale de l’atelier. La présence à chacune des séances d’atelier (y compris celles n’aboutissant pas à une évaluation) est impérative et sera le cas échéant sanctionnée (pondération de la note finale) à l’exception des absences justifiées auprès de l’administration.

OBJECTIF
Situé dans le champ de la représentation, le dessin d’observation est un préalable nécessaire au dessin de conception. Il a pour objectif d’amener les étudiants à éprouver l’expérience du regard et d’arriver à retranscrire cette expérience au moyen de différents outils et techniques manuels de représentation.

CONTENU
Quatre thématiques conçues en rapport avec l’atelier de projet sont abordées : • l’objet dans l’espace : dessin d’objets, objets en situation. • le corps dans l’espace : modèle vivant, portraits en situation. • l’espace intérieur : détails, escaliers, vues d’espaces intérieurs architecturés. • l’espace public : architectures, paysages urbains, végétaux. A travers ces thématiques les questions portant sur les dimensions, les proportions, la perspective, les échelles, la lumière et les textures seront mises en avant et traitées par chacun des enseignants selon des modalités qui leur sont propres.

VALIDATION
Une épreuve de dessin commune à tous les étudiants clôt le semestre. L’enseignement est validé par l’obtention de la moyenne entre la note de TD (coefficient 2) et la note d’examen (coefficient 1). A l’issue de cet examen (sans rattrapage) les étudiants n’ayant pas obtenu la moyenne en dessin se voient diriger au second semestre vers un atelier privilégiant la pratique du dessin.

OBJECTIF
Initiation à la 2D et 3D numérique pour l’architecture. Il s’agit pour les étudiants d’acquérir les compétences nécessaires à l’utilisation des outils numériques . Découverte du panel des outils de représentation, de communication et de modélisation liés à la pratique de l’architecte.

CONTENU
Connaître les concepts de base et maîtriser un environnement informatique. Donner les moyens à l’étudiant d’ exprimer et de traduire ses recherches et ses intentions du projet architectural. Acquérir une pratique des outils de représentations et de communications: textes, croquis, schémas, dessins, images et présentations numériques. Acquérir une pratique des outils de modélisation 3D. L’apprentissage se fait par la pratique de logiciels dits « généralistes » et rencontrés dans les agences d’architecture afin de comprendre et d’acquérir une méthodologie liée à cet outil. Programme de l’enseignement:
•Gestion des fichiers informatiques
•Maîtrise de la DAO
•Concepts et commandes de base de l’outil informatique,
•Entités géométriques 2D et modeleur 3D
•Codification des données vectorielles ou données images
•Modélisation de projet conçus en atelier de projet Cet enseignement assure la formation de base sur laquelle vont s’appuyer les différents enseignements d’outils numériques proposés dans le cursus.

VALIDATION
Contrôle continu
Dossier personnel

OBJECTIF
> Découvrir les fonctions structurelles sur le bâti
> Découvrir le rôle des matériaux en architecture et leur fonctionnement en mécanique des structures
> Aborder les équilibres fondamentaux en rapport avec la forme architecturale.
> Analyser la mise en œuvre d’un détail architectural
> Comprendre les liens entre la conception du détail architectural et ses implications constructives.

CONTENU
> Aborder les notions suivantes : structure, matériaux et résistance des matériaux.
> Reprendre les équilibres générés par une forme architecturale.
> La mise en œuvre du détail architectural.

VALIDATION
Examen écrit sur table

OBJECTIF
Si l’architecte conçoit l’espace en trois dimensions, les modes de représentation qu’il utilise se limitent en général à un espace à 2 dimensions (feuille de papier, écran, tablette graphique, etc.). Il s’agit donc, dès le début du cursus, de fournir à l’étudiant le vocabulaire et les techniques géométriques indispensables à la lecture et à la représentation d’objets réels ou projetés ; et au-delà des aspects purement techniques et pratiques, l’amener à relier le mode de représentation à la nature des informations à transmettre (choix de la projection, orientation, type de medium, etc.).

CONTENU
Après un balayage historique des différents modes de représentation des espaces architecturaux, le cours met l’accent sur les deux principaux modes de projection et leurs spécificités : la projection parallèle et la projection centrale. La première permet d’aborder les différents types d’axonométries et les ombres au soleil, tandis que la seconde amène à comprendre la perspective conique pratiquée en dessin d’observation, ou encore la projection des trajectoires du soleil sur le cadran solaire. Le cours insiste sur les spécificités de ces différents modes de représentation et le degré d’information qu’ils dispensent, pour finalement montrer qu’ils sont véritablement porteurs de sens.

Les TD mettent en pratique l’ensemble de ces informations au travers d’exercices spécifiques.

VALIDATION
Examen final (commun avec celui de morphologie) dossier de travaux dirigés.

Examen final 65%, contrôle continu 35%.

OBJECTIF
L’objectif de ces 2 TD est de poser les bases d’une approche physique et sensible des ambiances et de conduire les étudiants à savoir identifier les éléments qui influencent la perception des ambiances, comprendre comment une ambiance ressentie peut-être analysée, identifier les moyens pour l’appréhender (observation, analyse, mesure, simulation, enquête, …), la représenter et la restituer (les mots, le dessin, l’enregistrement, …) tant à l’échelle architecturale qu’urbaine.

CONTENU
Les deux TD sont pensés comme une sensibilisation, une introduction qui commence par un échange avec les étudiants. Il est ensuite demandé aux étudiants, à l’issue de cette discussion, de travailler sur des espaces (des espaces de l’ENSAN pour les ambiances architecturales et des espaces de la ville pour les ambiances urbaines) et de produire des supports graphiques traduisant leurs ressentis d’ambiances, les mesures (niveau d’éclairement, température, humidité, niveau sonore) des différents espaces par du texte, des croquis, des représentations graphiques (plans, coupes, …) ou tout autre moyen qui leur semble le plus approprié. Il s’agit d’extraire à travers le croisement entre perception et mesures les éléments influençant fortement les ambiances.

VALIDATION
Evaluation du travail réalisé le temps du TD rendu en fin de séance

OBJECTIF
L’architecte manipule les formes ; or même les plus complexes d’entre elles résultent en définitive de combinaisons, juxtapositions, transformations successives d’entités élémentaires, la plupart du temps extrêmement simples. Au-delà de l’aptitude à lire et représenter les formes spatiales, il s’agira de développer chez l’étudiant sa capacité à opérer ces différentes transformations, et finalement appréhender l’espace de manière raisonnée à partir d’une combinatoire des volumes de base

CONTENU
Le cours développe les modes de génération de formes planes et spatiales élémentaires (polygones et polyèdres notamment), de même qu’il s’intéresse aux arrangements et combinatoires possibles à partir de ces éléments de base (pavages plans, empilements spatiaux). Sont également développées les notions relatives aux lois de l’harmonie (division harmonique, nombre d’or), et leur application dans le champ de l’architecture au cours de l’histoire (tracés régulateurs).

Les TD ont pour objet la transformation raisonnée des formes élémentaires : manipulation des entités planes et 3D, arrangements planaires et spatiaux, etc.

VALIDATION
Examen final (commun avec celui de morphologie) dossier de travaux dirigés.

Examen final 65%, contrôle continu (TD) 35%.

OBJECTIF
Ce cours veut donner à l’étudiant les premiers éléments pour se construire des repères et des références dans une histoire de l’architecture moderne du monde occidental, les architectes, mouvements et édifices présentés ont émergé et se sont développés de 1870 aux années 60 du 20e siècle.

CONTENU
Le cours d’histoire présente, selon un cadre chronologique, une série de monographies, articulées entre elles, pour expliciter les filiations et positions de chaque architecte ou des «écoles» qui marquent les grands moments de l’architecture à l’articulation des 19e et 20e siècles.
Une attention particulière sera portée aux histoires et cultures respectives des architectes œuvrant principalement en Europe et aux Etats-Unis pour les mettre en relation avec les contextes culturels et politiques.

LES THÈMES :
Déclinaisons de l’Art nouveau : Autriche, Scandinavie, Ecosse / L’autonomie américaine : autour de Chicago, de Sullivan à Frank Lloyd Wright / Relations Art et Industrie, le Werkbund / L’art de la référence : Perret, Garnier, Loos / Le Corbusier, icône de l’architecture moderne / L’exemple du Bauhaus / Mies van der Rohe et le « style international » / Quelques héritiers du mouvement moderne.

VALIDATION
Analyse de textes pour le contrôle continu (confrontation de trois points de vue sur deux thèmes) et examen final.

OBJECTIF
Acquérir une maîtrise suffisante pour pratiquer la langue allemande avec aisance et confiance, dans le contexte de la vie courante mais également dans un contexte professionnel et commercial et si l’étudiant le désire, de préparer un séjour ERASMUS en Allemagne.
Améliorer les quatre compétences :
Compréhension orale et écrite, l’expression orale et écrite,

CONTENU
Cours magistraux : entraînement à la certification en alternant les compétences orales et écrites, et révision des bases grammaticales.
TD : étude de documents écrits pour développer et étendre le vocabulaire du domaine de l’architecture et de la vie courante en général.
Travaux en groupes à partir de textes d’architecture ou d’articles : élaboration d’une thématique.
Le début du cours est consacre à l’actualité et la culture allemande et met l’accent sur l’expression orale et la compréhension orale par l’écoute
Extraits vidéo des Informations allemandes « Tagesschau » ou « Deutsche Welle »

VALIDATION
Chaque début de cours des étudiants à tour de rôle présentent un point d’actualité en deux trois minutes.
Entrainement actif (environ 30 nouveaux mots par semaine)
Lecture d’un article ou d’un texte par semaine et apprendre le vocabulaire.
Révisions grammaticales avec exercices toutes les semaines.
Préparer un exposé oral par semestre de 8 à 10 minutes avec power point (architecture, film, livre, personnage)
Tout les deux ans lire un livre en allemand et réaliser une fiche de lecture.
Participation active au cours. Examen de deux heures en fin de semestre

OBJECTIF

Il s’agit d’acquérir les compétences nécessaires pour pratiquer, tant dans l’activité professionnelle que dans la vie quotidienne, la langue choisie.
Les TD visent à développer les 4 compétences linguistiques : La compréhension orale
La compréhension écrite
L’expression orale
L’expression écrite

CONTENU
CONTENU DES TD
Textes à étudier
Enregistrements à écouter
Révision et pratique de la grammaire
Vocabulaire
Jeux de rôle et discussions
CONTENU DES COURS MAGISTRAUX Préparation et entraînements aux examens de TOEIC.

VALIDATION
Contrôle continu qui comprends:
Note de participation et assiduité en cours
Des exposés(dont un au milieu du semestre et un en fin de semestre)
TOEIC blanc en fin de semestre

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OBJECTIF
En ayant les connaissances basiques de l’espagnol l’étudiant pourra améliorer les connaissances linguistiques nécessaires pour interagir dans une variété de situations et faire face aux problèmes quotidiens en établissant une communication réussie dans un contexte académique et/ou professionnel. L’étudiant sera capable d’utiliser les ressources linguistiques pour développer des idées critiques bien argumentées, comprendre les idées principales des textes en espagnol, produire des textes cohérents sur des sujets connus, donner et demander des opinions, donner des conseils et enseignements, expliquer des plans et projets, exprimer des souhaits, des intérêts et des sentiments.

CONTENU
Pendant les cours magistraux l’étudiant obtiendra les connaissances nécessaires pour avoir une prononciation, une grammaire et un lexique approprié dans le domaine de l’architecture. Les TD permettront de réviser et de s’entraîner dans la grammaire, la compréhension et l’expression écrite en utilisant des extraits vidéos et films – Festival de cinéma espagnol à Nantes-, extraits de conférences, analyses de documents sur l’architecture.

VALIDATION
Participation accrue souhaitable dans la construction d’un dictionnaire d’architecture Espagnol-Français, contrôle continu.