Théories et doctrines de l’architecture – Habiter Scénarios construits
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Atelier de projet Habiter : scénarios construits
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Le logement peut être considéré comme le « théâtre », de la diversité des relations entre espace physique et société. Pourtant, le dogme du « logement familial » (cuisine-séjour-chambres) domine la production standard du logement. Si ce modèle ne répond que partiellement aux enjeux contemporains, il constitue une base « générique » à partir de laquelle chaque pièce, chaque usage, chaque relation peut être réarrangée selon des critères différents.
En France, et dans certains pays d’Europe, une pénurie durable de logements révèle 2 grandes tendances : le fractionnement des ménages (multiplication des familles monoparentales) et le fort ralentissement de la rotation des logements (allongement de la vie, cohabitation prolongée des jeunes et précarisation). La modernité n’a cessé d’interroger ce dilemme : l’organisation de l’espace domestique peut-elle être à l’origine de nouvelle pratiques, ou, à l’inverse, l’évolution de la société génère-t-elle de nouvelles formes d’habiter ? Le projet de chaque étudiant déclinera ces questions sous 2 formes.
> Élaboration du scénario : entre le « plan bâlois » (partition neutre et polyvalente des espaces) ou le « loft » (transparences et surdimensionnement des espaces) les architectes ne cessent de défier le « modèle de base » à l’aide de fictions inspirées des modes de vie (réels ou rêvés).
Ainsi, chaque projet proposera une programmation du «vivre ensemble et séparément », et explorera sa capacité à évoluer, aussi bien dans sa configuration propre (modularité), que dans ses possibles extensions (agrandissement).
> Développement construit: le logement, en tant que construction, provoque la même sidération que Salvador Dali devant une sculpture de Calder : « La moindre des choses que l’on puisse demander à une statue, c’est de ne pas bouger ». Entre éphémère et monumental, de Loos à Archigram, la mise en place des fonctions se double d’un questionnement sur leur construction : trame générique ou spécifique ? Surfaces modulaire ou modulable ? Organes définitifs ou remplaçables ?
CONTENU
L’atelier se déroule en 4 séquences de travail, qui combinent chacune une phase en groupe, et une phase individuelle :
> Hors-sol : la première étape consiste à restituer une étude de « plan type », à partir du choix d’une réalisation contemporaine, et à scénariser son fonctionnement.
La seconde, à élaborer un agencement « idéal »: chaque étudiant choisira de modéliser un espace-type, et ses interrelations au travers d’une thématique (le rôle cuisine/ espace repas / stockage par exemple), puis élaborera une hypothèse de programme autour d’une forme de groupement (colocation, cohabitation seniors-famille, travail à domicile…). Cette phase s’appuiera particulièrement sur le cours sur le logement, qui s’apparentera à un séminaire.
> In situ : identification des contraintes (règlementaires, climatiques, morphologiques) et des ressources du site donné. Puis, mise en place du principe de cohabitation (sur une ou plusieurs parcelles) entre les programmations menées individuellement, en répartissant les gradations entre les formes plus individuelles, et plus collectives.
Le périmètre d’étude est situé à Nantes, dans un contexte urbain dense, permettant de croiser les échelles (de la maison combinée à la tour). Le terrain aura les qualités d’un site : accroche sur les tracés (ou traces), la géographie, les usages et pratiques, le paysage construit et naturel.
> Dans-oeuvre : définition matérielle du projet, au travers du rapport structure-enveloppe, des organes techniques et divers éléments de construction. Le choix des techniques et matériaux approfondit les liens entre leur dimension esthétique et de mise en oeuvre. Le projet intègre un ensemble de contraintes règlementaires comme « background réaliste ».
Cette phase confrontera les objectifs spatiaux, formels et sensibles du projet à leur transcription «architecturale ». Il s’agira de développer par le projet, une pensée de
« constructeur » : quel rôle joue la trame ? Quel est l’enjeu du procédé constructif ? Comme constituer des parois ? Comment générer des percements ? Qu’est-ce qu’un
« détail » et à quoi sert-il ? Comment inventer des règles architecturales pour le projet, issues de contraintes techniques ou réglementaires ? Comment passer de la matière au matériau ?
> In visu : la présentation d’un projet est un travail en soi. L’expression plastique du projet, et les conventions techniques de représentation s’articulent lors de cette dernière phase. Elles mettent en évidence l’enjeu d’un dispositif de communication maîtrisé.
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Projet long: travail par groupes de 3 (70% note globale)
• 2 évaluations intermédiaires au cours du semestre avec appréciation sans notation
• 1 jury final avec note pour chaque groupe.
Intensif Habiter : Scénarios construits
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Intensif : travail individuel (30% note globale)
• 1 jury final avec note pour chaque étudiant(e)
Théories et doctrines de l’architecture – HTA / Habitat à tous les âges
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Atelier de projet – HTA /Habitat à tous les âges
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Explorer les process de conception de projet en s’appuyant sur des programmes actuels. Cela passera ici par le fait d’étudier des programmes liés à la question de l’habitat pour les séniors, hors situations de dépendances.
Améliorer la maitrise des outils de représentations et d’explorations du projet d’architecture.
Prendre la mesure des impacts des évolutions réglementaires sur les projets et architectures construites.
Sensibiliser et former aux enjeux environnementaux. Prendre en charge de possibles manières de composer avec cette réalité, tant au plan méthodologique (accès aux informations et données, composer avec une réalité et une époque qui sont en transition, process pour mobiliser les bons dispositifs dans un environnement de projet donné, composer avec l’économie de l’énergie, des ressources pour atteindre le facteur 4/réduire les impacts…) qu’au plan technique (évolutions réglementaires, modes constructifs, matières…).
CONTENU
L’orientation de cette offre pédagogique est basée sur le projet d’architecture comme mode d’exploration d’un sujet qui est de plus de plus présent, l’habitat des séniors.
Un futur à inventer
Le vieillissement de la population est de plus en plus prégnant. C’est un phénomène mondial. A l’échelle européenne la France se situe dans la moyenne avec 18,8% de la population âgée de plus de 65 ans en 2017. La projection à l’horizon 2030 prévoit qu’elle passera à plus d’un tiers. Les impacts dans la société sont nombreux et pluriels : santé, économie, soins… L’habitat et les modes de vie sont déjà impactés, et le seront de plus en plus. La prise en compte de la place des séniors dans l’espace public est de plus en plus importante. Les habitats, entre grands habitats individuels (appartements et maisons “familliales“) et habitats adaptés aux modes de vies, sont aussi travaillés par cette évolution.
On étudiera donc des habitats “adaptés“, et par effet miroir on étudiera les relations entre formes de l’habitat et modes de vie. Pas de doute qu’a court terme ce qui parait ne pas concerner les séniors actuels fera partie des sujets : parité, égalité hommes-femmes, transitions et genres…
Ce qui est en jeu c’est également des manières de faire communauté, ou non.
Un intérêt de l’habitat séniors est que son modèle, au sens d’une typologie de l’habitat, n’est pas aussi stable que celui de la famille. Dit autrement les acteurs de la fabrique de l’habitat (collectivités, bailleurs, promoteurs… mais aussi collectifs d’individus) n’ont pas de modèles très déterminés et stables de l’habitat pour les séniors.
D’une part parce que les dits séniors sont très divers :
– en âge, de 60 à 90 ans cela n’a rien à voir, la vie ne se découpe plus en 3 âges, mais en 5 ou 6…
– en attentes et projections, de la petite maison à une vie collective, voire à une vie composant avec plusieurs générations
– …
D’autre part parce que cette société des cheveux gris se cherche des modèles économiques. L’idée d’une “silver économie“ est apparue récemment. La question de la répartition et de la redistribution de la richesse fera encore l’objet de débats dans l’avenir, notamment en terme d’économie territoriale.
Ce faisant c’est un programme qui permet d’explorer de multiples partages et organisations spatiales.
Un présent avec lequel composer
L’autre grand volet de cet enseignement sera de se former aux nouveaux enjeux architecturaux qui se développent du fait des enjeux environnementaux.
Le BTP est le deuxième pollueur, derrière le transport, et le plus gros producteur de déchets. La part de la construction dans la transformation de “la zone critique“ (épaisseur terrestre directement modifiée par les actions humaines) est majeure.
Il s’agit donc d’envisager la possibilité de construire en intégrant la nécessaire économie de la ressource, que ce soit celle de la matière, de l’énergie, du cycle des matériaux, des impacts de la construction… dans le process de conception. Mais aussi en intégrant les impacts les plus pertinents en regard du déséquilibre de la planète : économie d’énergie et de matières, préservation du vivant (cycle de l’eau, biodiversité…), prise en compte des états futurs dans le projet au présent (épisodes climatiques plus intenses, modification des cycles économiques en agriculture, productions…)
Il s’agira pour nous de prendre la mesure de cette réalité et d’identifier les impacts de sa prise en compte dans les dispositions architecturales et modes constructifs : installations dans les contextes culturels et matériels, matières constructives, relations entre les différentes formes du vivant…
L’architecture et la règle
En matière de construction la question réglementaire est centrale. Le sujet est d’autant plus essentiel que le développement des modes constructifs bas carbone mobilisent bien souvent des techniques dites peu-courantes, soit hors cadre réglementaire établi. Il en va ainsi de la construction terre, paille, mais aussi des bio-matériaux innovants car en phase de R&D (Recherche et Développement).
Outre ce volet, il s’agira d’identifier comment les évolutions réglementaires façonnent nos cadres de vie via le prisme de l’habitat.
Pour saisir cela il s’agira d’établir à l’échelle de notre studio une fresque temporelle (timelime) des règles de constructions et règlements : règles constructives (béton, bois, autres…), règles des conditions d’habitabilité (acoustique, lumière & éclairage…), règles énergétiques (isolation, confort été/hiver…), règles assurantielles…
Le projet dans son contexte matériel, culturel, d’acteurs
Chaque projet se construit dans et part un contexte plurifactoriel. Le lieu de la construction et de ses “entours“. Les représentations qui circulent dans chaque territoire et qui varient considérablement selon que l’on est en milieu urbain, périurbain, rural, rural profond… les projections et valeurs des acteurs, les destinataires du projet bien sûr, mais aussi les donneurs d’ordre pour lesquels la mission de service est mobilisée.
Afin de toucher à une pluralité de contextes à partir d’une même question, l’habitat sénior, nous proposons de répartir les travaux de projets dans trois situations : une métropolitaine, en ville dense, une périurbaine, et une rurale.
L’enjeu est de saisir partie de la diversité des enjeux fonction des contextes, et par conséquent le diversité des propositions à développer.
Productions :
Les travaux aboutissent à trois types de production :
– un projet architectural présenté avec les outils usuels, l’usage de l’informatique comme outil sera obligatoire, et pourra se conjuguer avec d’autres outils de représentation (travail en groupe et individuel)
– une fresque temporelle des règles de la construction (travail en groupe)
– une note de synthèse précisant la mesure des enjeux environnementaux dans le projet d’architecture (choix de matière, cycle de la matière…)
Organisation :
Les travaux seront organisés seront différentes modalités :
– travail en groupes, sous-groupes et individuels
– l’enseignement sera organisé autour des travaux des étudiants, en accompagnement
– évaluations croisées, autonomie
Les enseignants interviennent en tant que “ressources“, porteurs de compétences spécifiques qui sont au service des travaux étudiants.
Les méthodes pédagogiques développent des process actuels : conception itérative, enseignements inversé, jeux de rôles, évaluation croisée… afin de donner une place centrale et motrice aux compétences étudiantes.
Partenariats et intervenants :
– Liste en cours : bailleurs sociaux, Gérontopôle de Nantes, services sociaux du Département…
– pistes d’échanges avec des villes (sites de projet) en cours
– …
VALIDATION
Evaluation :
– contrôle continu
– points d’étapes/ présentations de travaux
– présentation finale
Voyages et Déplacements :
Selon choix de sites de projet et possibilité de chacun
Ressources :
– Encore Heureux : “Matière Grise“
– Latour Bruno : « Face à Gaïa“, « Où atterrir, Comment s’orienter en politique. », “Où Suis-je ?“
– Rahm Philippe : « Histoire naturelle de l’architecture“
– https://sergeguerin.fr/
…?
Intensif HTA / Habitat à tous les âges
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Théories et doctrines de l’architecture – Tiers Habités
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Atelier de projet – Tiers habités
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– Maîtriser la conception d’un ensemble de logements et son environnement en co-conception participative
– Expérimenter les outils d’intelligence collective dans le processus de co-conception
– Appréhender le jeu d’acteurs entre Maîtrise d’ouvrage, Maîtrise d’œuvre et ses partenaires, Collectivités, entreprises
– Explorer les transitions et relations entre espaces privatifs, collectifs et public
– Développer une connaissance de modes constructifs privilégiant les matériaux naturels renouvelables
-Apprendre à lire un paysage et travailler l’empreinte de l’habitat sur son environnement naturel
– Expérimenter les techniques d’immersion numérique à différents stades du projet
– Mots clefs : co-conception, bio-climatisme, éco-construction, permaculture, habitat participatif, coopération, voisinage, communauté, low-tech, frugalité, empreinte écologique, cycle de vie, mixité sociale et intergénérationnelle, Immersion, Maquette numérique.
CONTENU
Habitat groupé, habitat coopératif, co-habitat, éco-hameau, désormais regroupés sous la bannière de l’habitat participatif, ces opérations se distinguent en premier lieu par la dynamique d’un groupe de personnes qui mutualisent leurs moyens afin de créer un habitat sur-mesure, au sein duquel logements privatifs et espaces communs coexistent en harmonie. Les futurs habitants s’impliquent dès les phases de programmation, assurent parfois l’auto-promotion de l’opération. Ces démarches ont pris place dans le paysage des politiques locales du logement et en particulier dans la Métropole Nantaise. La loi ALUR leur donnant en 2012 un cadre législatif. Les collectivités relaient désormais un mouvement citoyen renaissant au milieu des années 2000 après avoir connu un premier « âge d’or » dans les années 70-80 avec le mouvement de l’habitat auto-géré. Porté par des aspirations écologiques et la recherche de liens sociaux renouvelés, cette troisième voie de production de l’habitat entre promotion privée et bailleurs sociaux porte des capacités d’innovation. Elles bousculent et interrogent les freins opposés à la production de construction plus saine et écologique dans le cadre réglementaire et assurantiel existant. L’innovation se place aussi sur le champ humain dans les processus de décision collective, la biodiversité des montages juridique et financier et la diversité des programmes. Cette capacité d’adaptation permet d’explorer un habiter au plus près des défis posés par les mutations sociétales en renforçant les solidarités : vieillissement, foyer monoparentale, télétravail, accès au crédit, … Ces formes de production interrogent également en profondeur les relations entre Maîtrise d’œuvre et Maîtrise d’usage dans le processus de co-conception collaboratif avec les futurs usagers.
L’association à la décision des usagers (maîtrise d’usage) un temps théorisé dans les 60-70 dans la recherche d’un langage commun générateur de projet fondé sur les pratiques (Pattern Langage d’Alexander), ou dans les variations structuralistes support-forme de la méthode SAR d’Habraken, s’est aussi exprimée dans le désordre constructif incrémental accueillant la parole habitante de Lucien Kroll ou la recherche de flexibilité spatiale d’un espace polyvalent appropriable. L’architecte tâtonne aujourd’hui dans des processus plus empiriques pour s’engager dans ces démarches de co-conception participative. Il s’agira d’interroger les modalités de ce dialogue itératif et la constitution d’un récit partagé. On privilégiera pour ce faire les formes narratives et les scénarios de vie dans la phase de recueil des attentes des habitants.
Il s’agira d’étudier une unité de 10 à 20 logements associés à leurs locaux annexes et des éléments de programmes hybrides (halte-garderie, épicerie solidaire, atelier de réparation de vélo, locaux d’activité,…) en lien avec leurs futurs habitants. Ce projet sera mené en groupe de 2 ou 3 étudiants. Les formes abordées iront des constructions les plus pérennes à des formes plus légères et éphémères.
Les projets s’inscriront dans le cadre du concours Impact et devront donc répondre aux quatre thématiques prenant appui sur le Manifeste pour une Frugalité Heureuse et créative:
• Energie : conception bioclimatique, permettant de réduire au strict minimum les consommations d’énergie, tout en assurant un confort accru ;
• Matière : intégration de matières renouvelables, peu transformées et/ou disponibles localement comme les matériaux biosourcés, la terre crue ou encore la pierre naturelle ;
• Technicité : recours à des techniques pertinentes et adaptées, non polluantes ni gaspilleuses, comme des appareils faciles à réparer, à recycler et à réemployer ;
• Territoire : attention particulière portée au contexte (urbain ou rural) du projet, aux cultures, aux lieux et aux ressources locales (air, sols, eaux, biodiversité, etc.).
Après une phase d’incubation du sujet nourrie par des visites de chantiers et de réalisations, des exposés, des études de cas d’opérations réalisées par les étudiants permettent de constituer un corpus de référence
Explorer le processus de co-conception collaborative en travaillant avec des groupes d’habitants constitués aux phases d’étude préalable et de faisabilité dans une approche globale de l’empreinte environnementale du projet (gestions des « déchets» de chantier, ressources vivrières, gestion des eaux, climat, énergie, transports, …). Comment passer du « je » au « nous » en maîtrisant l’agencement des cohabitations, la transition des espaces privatifs aux espaces collectifs? Comment faire place aux apports des habitants en intégrant auto-construction ou auto-finition partielle ?
Apprendre à lire un paysage (sols, végétation, faune, climat, …) et à considérer l’empreinte environnementale du bâti et les ressources du site dans une démarche permacole.
Développer le projet par étapes incrémentales jusqu’aux choix constructifs matériaux naturels sains et renouvelable (terre, bois, bio¬sourcés).
Développer une approche sensible du projet, par une maîtrise des matériaux et de leurs ressentis en mettant la main à la patte : chantiers participatifs, maquette-prototype, expérimentation, …
La restitution du projet privilégiera dans un premier temps des formes immersives interactives ou narratives et les maquettes afin d’offrir aux habitants impliqués des modes de communication plus accessibles que les codes de représentation conventionnels de l’architecture.
VALIDATION
Parcours exploratoire des projets habités et rencontre avec les partenaires dans le territoire
En 2025, déplacement en Ardèche dans le cadre d’un atelier Hors Les Murs avec le parc régional des Monts d’Ardèche sur la reconversion d’un ancien moulinage.
Intensif – Tiers habités
OBJECTIF
Cette séquence intensive permet d’aborder la mise en forme finale du projet.
CONTENU
L’atelier intensif permet de cristalliser la synthèse du projet au-delà des modes de
représentation conventionnel dans des formes de communication propices à l’échange
avec des usagers (maquette interactive, rendu scénographié, immersion 3D, forme
narrative…).
VALIDATION
Restitution en présence de la Maîtrise d’usage