Projet : La grande échelle

OBJECTIF
Acquérir des bases théoriques et des références pour apprendre à intégrer la « grande échelle » dans le projet architectural.
Adossé à l’atelier de projet long Lignes de partage, cet enseignement propose en particulier d’approcher le projet dans sa capacité à produire des connaissances, et de traiter de questions environnementales (changement climatique, réduction du vivant…) et de situations de forte vulnérabilité (littoraux, lisières métropolitaines, territoires intersticiels).

CONTENU
Cours et conférences.
Présentation d’un corpus de références.
Production individuelle d’une étude de cas intégrant un texte de mise en perspective théorique et critique.

VALIDATION
Evaluation de la prise de notes (carnet) et de l’étude de cas, mise en relation avec un texte commenté.
AWAN Nishat, SCHNEIDER Tatjana, TILL Jeremy, Spatial agency. Other ways of doing architecture, Routledge, 2011. Plusieurs essais et une sélection d’exemples présentés sur le site http://www.spatialagency.net/.
BERDOULAY Vincent, SOUBEYRAN Olivier, L’Aménagement face à la menace climatique. Le défi de l’adaptation, Grenoble, UGA Éditions-Université Grenoble Alpes, « Écotopiques », 2020.
CHAUVIER Eric, Les mots sans les choses, Allia, Petite collection, 2014, 128 p.
CLERGEAU Philippe, « La biodiversité dans les stratégies d’aménagement urbain », Métropolitiques, 21 novembre 2019. URL : https://www.metropolitiques.eu/La-biodiversite-dans-les-strategies-damenagement-urbain.html.
DE CHENAY Camille, TRUONG Nicolas, Entretiens avec Bruno LATOUR, juin 2022, 12 vidéos de 13 minutes, voir en particulier la n°6 : Les dispositifs collectifs, https://www.arte.tv/fr/videos/RC-022018/entretien-avec-bruno-latour/
NANGO Yoshikazu, « The Behaviors That Atelier Bow-Wow Call Research », in Yoshiharu Tsukamoto, Momoyo Kaijima (éds.), Atelier Bow-Wow : Behaviorology, Rizzoli, New York, 2010, p. 321-340.
JANIN Rémi, La ville agricole. L’agriculture vit une révolution urbaine sans précédent traduisant un changement de civilisation profond, Openfield, 2018.
PRUVOST Geneviève, Quotidien politique. Féminisme, écologie, subsistance, La Découverte, Paris, 2021.
TRONTO Joan C., « Vers une architecture du ménagement », Topophile, 31 janvier 2021.
VIGANO Paola, FABIAN Lorenzo, SECCHI Bernardo (dirs.), Water and asphalt. The project of isotropy, UFO 5, Explorations of urbanism, Park Books, Zürich, 2016.

OBJECTIF
Intégrer la « grande échelle » dans le projet architectural, en articulant une approche critique de la vie quotidienne avec des questions environnementales (changement climatique, réduction du vivant…) dans des situations de forte vulnérabilité : littoraux, lisières métropolitaines, territoires intersticiels.

L’atelier lignes de partage aborde le projet d’architecture dans sa capacité à se saisir d’enjeux dépassant sa propre emprise opérationnelle. Considérant le territoire non pas comme un décor mais comme un sujet architectural en soi, il propose une approche écosystémique reliant la question du construire avec des problématiques environnementales, paysagères, infrastructurelles, d’espaces publics…
Cet élargissement des horizons spatio-temporels du projet amène à modifier ses cadres et ses modalités d’action. Il interroge les frontières de la discipline architecturale et met au travail la question du positionnement de l’architecte parmi d’autres agent·es, et celle de son engagement dans une transformation créative et responsable du monde.

CONTENU
La capacité potentielle d’un projet d’architecture à articuler projet d’édification et projet territorial est mobilisée pour aborder les problèmes sociétaux et environnementaux du changement climatique et de la réduction du vivant, à partir d’une approche critique de la vie quotidienne.
Les territoires de lisières, franges métropolitaines, zones littorales et autres espaces limites ou interstitiels entre différents mondes, sont particulièrement sensibles aux évolutions qui affectent la planète. La vulnérabilité de ces lieux de discontinuité, de transition et d’acculturation, entre eau et terre, entre ruralité et urbanité…, constitue une espace de projet que nous nous proposons d’explorer le long de la ligne Atlantique européenne (sites de projet et destinations des voyages d’études).
C’est dans le quotidien que s’inscrivent les pratiques de production-consommation ordinaires qui mettent en crise l’habitabilité du monde. C’est aussi dans la quotidienneté que naissent les projets et qu’ils sont mis à l’épreuve. Ce quotidien a donc pouvoir de métamorphose et d’invention, mais par quels gestes ? Nous proposons de changer d’échelle pour concevoir cette quotidienneté et ses spatialités, en explorant les potentialités des maisonnées (Pruvost, 2021), façon de penser les communautés de vie ou réseaux d’interdépendances offrant une échelle d’action collective, ancrée, politique, entre l’échelle individuelle et celle de la région.
Lignes de partage propose une culture de l’attention et de la curiosité, traitant avec respect et positivité les situations diverses et complexes qui composent les réalités spatiales contemporaines, et s’attachant à transcender les récits et les modèles (la métropolisation, la « ville durable », le « bon goût »…), limitant leur perception et leur compréhension, pour saisir la capacité qu’ont certaines configurations spatiales à profiter des conditions de leur situation et, à partir de là, imaginer des architectures permettant d’en augmenter le potentiel.

Les séquences qui rythment le déroulement de l’atelier alternent approches par groupe et travail individuel, et proposent des allers-retours constants entre enquête et conception, et entre les différentes échelles, abordées à partir de leurs interdépendances. L’intensif des deux dernières semaines propose un retour réflexif sur l’ensemble des séquences, pour enrichir et renforcer certaines prises de position, faire émerger des sujets transversaux, remettre en perspective dans le grand territoire les différents projets élaborés par groupes et individus, et ainsi produire une nouvelle représentation chorale et conceptuelle du territoire. Cette dernière phase donne lieu à une exposition intégrée à la journée « portes ouvertes » qui clôture le semestre.
L’atelier est conçu comme un dispositif collaboratif valorisant l’apprentissage du travail en commun, que ce soit à travers la répartition de missions d’intérêt général ou la mise en place d’expertises croisées. Il intègre des compétences en architecture, en urbanisme, en paysage et en arts et techniques de la représentation, et propose des apports d’autres disciplines, indispensables pour répondre aux problèmes posés (géographie, science du vivant, sociologie…). De même que les autres options de projet en S5, il s’articule avec l’enseignement ReprésentationS qui permet d’approfondir et de questionner les modalités de représentation de la « grande échelle ».

VALIDATION
Progression continue, présentations intermédiaires et jury final.
Pour la session 2023-24, nous nous intéressons au territoire de Saint-Jacut de la mer, au nord des Côtes d’Armor. Cette commune occupe une petite presqu’île, dont l’habitabilité est confrontée aujourd’hui à deux phénomènes aggravés par le réchauffement climatique : la montée du niveau de la mer et la pression du tourisme. Nous proposons de nous saisir de cette situation à l’occasion d’une expérimentation initiée par le Conservatoire du littoral pour accompagner le mouvement de recul du littoral plutôt que le fixer avec des ouvrages côtiers (projet Adapto, programme européen LIFE). Un partenariat avec le Conseil d’architecture d’urbanisme et de l’environnement (CAUE) et la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) des Côtes d’Armor (22) est établi pour travailler au plus proche des enjeux et des acteur·ices de ce territoire.

La destination choisie pour le voyage d’études de 3e année de licence est Venise, permettant d’aborder dans un contexte lagunaire des problématiques similaires de montée des eaux et de vulnérabilité d’un territoire soumis à diverses pressions environnementales, touristiques, etc ; et d’autre part pour profiter de la biennale d’architecture conçue sous le commissariat de l’architecte ghanéenne et écossaire Lesley Lokko, sous le titre « Laboratoire du futur ».

Liens utiles
https://lignesdepartage.nantes.archi.fr/

OBJECTIF
L’intensif « Lignes de partage » est adossé à l’atelier de projet long éponyme.
Cette dernière séquence vise à effectuer un retour réflexif sur l’ensemble des séquences de l’atelier, pour enrichir et renforcer certaines prises de position, faire émerger des sujets transversaux, remettre en perspective dans le grand territoire les différents projets élaborés par groupes et individus, et ainsi produire une nouvelle représentation chorale et conceptuelle du territoire. Cette dernière phase donne lieu à une exposition intégrée à la journée « portes ouvertes » qui clôture le semestre.
En faisant résonner entre elles les approches cartographiques, les propositions architecturales et les corps, il s’agit de boucler la boucle : remettre en perspective dans le grand territoire les différents projets élaborés par groupes et individus, et ainsi produire une nouvelle représentation du territoire.

CONTENU
Finalisation / post-production des projets de l’enseignement de projet long éponyme.
Expérience collective, mobilisant physiquement les corps et mettant à profit ce que l’on peut trouver à l’école, et faisant résonner entre elles les différentes approches menées préalablement, pour donner forme à un objet / dispositif tangible et partageable.
Présentation de l’installation dans le cadre de la journée « portes ouvertes » de l’école.

VALIDATION
Implication et qualité de la réalisation (installation, activation).

OBJECTIF
Chaque séance du studio de projet sera ponctuée d’apports théoriques sur « Les théories de l’espace public » et d’apports « Méthodes et Références urbaines et architecturales ».

CONTENU
Déroulé des apports « Théories de l’espace public » :
– Théories de l’espace public#1. Goffman
– TEP#2. Sennett et Habermas
– TEP#3. Becker et l’improvisation
– TEP#4. L’espace public aux défis de l’anthropocène
– TEP#5. De l’espace public aux communs, exemples d’Utopies concrètes
– TEP#6. Comment repeupler l’espace public ?
– TEP#7. La fabrique de l’espace public à l’épreuve des prix, labels et honneurs
– TEP#8. Des mots et des images pour agir

Déroulé des apports « Méthodes et références urbaines et architecturales » :
– Méthodes et Projets#1. Protocoles d’enquête et relevés sensibles
– MEP#2. Le Fond dur
– MEP#3. L’Atlas et la cartographie, exemples nazairiens
– MEP#4. La Table longue et la Carte à jouer comme outils de conception
– MEP#5. Concevoir parmi les gens ou la figure de l’architecte-conseil : Rezé, La Bottière et Trignac
– MEP#6 Le Texte Manifeste, outil d’énonciation du programme/projet suivi de trois exemples d’articulation programme/projet : Le square Fleuriot, la Mairie de Trignac et les garages (BP/Fl)
– MEP#7. Exemples d’articulation programme/projet :Le square Fleuriot, la Mairie de Trignac et les garages
– MEP#8. D’autres petites ceintures en projet 
– MEP#9. Le concours dans tous ses états #1 : concours gagnés/concours perdus
– MEP#10. Le concours dans tous ses états #2 : l’exemple d’un concours d’habitat participatif
– MEP#11. Le concours dans tous ses états #3 : Préparer un rendu avec OMA

VALIDATION
La capacité des étudiants à remobiliser ces apports sera évaluée à l’occasion des restitutions successives qui ponctuent l’enseignement de projet.

OBJECTIF
A l’interface entre les théories de l’urbanité et les pratiques de projet, le thème de la « publicité » apparaît incontournable dans la formation d’architecte sur au moins trois plans différents. Déontologiquement, on peut considérer que la lutte contre la disparition progressive de l’espace public au profit de l’espace privé, individualisé et aujourd’hui « résidentialisé », relève directement de sa responsabilité. Théoriquement, on peut soutenir qu’une initiation aux principales filiations de pensée qui s’affrontent autour de la définition du mot est un minimum nécessaire pour fonder la manière de projeter l’espace public. Pratiquement, on ne peut que s’étonner devant l’absence de recette possible pour concevoir et générer de l’espace public : il faut toujours réinventer la façon de faire en fonction d’un contexte singulier.

CONTENU
Comment se pratique, se fabrique et se théorise l’espace public ? Telles sont les trois questions qui traversent ce studio de projet, qui articule :
– une série d’interventions et de débats sur les théories de la fabrique et des pratiques de la publicité
– une itération entre l’enquête de terrain et l’atelier de projet
– un accompagnement méthodologique sur les outils et méthode de conception et de représentation pour « faire projet »
Les interventions et débats hebdomadaires s’emparent de la question initiale « Mais qu’est-ce donc qu’un espace public ? » en variant la focale, entre fabrique et pratiques de l’espace public, aux différentes échelles. Ces temps d’échange visent à outiller les étudiants pour penser et concevoir l’espace public tout en expérimentant les manières dont un collectif d’étudiants au travail peut lui même « faire espace public ».
L’atelier de projet, entre immersion sur le terrain et séances de travail à l’école, explore l’espace public aux différentes échelles selon la méthode du transect métropolitain appliqué au territoire nantais. Ce dispositif d’analyse et de conception permettra d’aborder et d’enchevêtrer trois échelles de conception : celle d’une micro-situation ordinaire qui sera le point de départ d’une enquête in situ, celle d’un espace public vivant (approche localisée sur un secteur d’environ 2.5 ha, par ex. un espace-rue, une place, un délaissé, un jardin public, etc), celle d’un réseau d’espaces publics (approche territoriale menée en groupes sur un secteur d’environ 25 ha).
L’accompagnement méthodologique sera ciblé sur des questions de représentation et de mise en récit du projet. Une attention particulière sera portée aux dispositifs pédagogiques favorisant le travail collaboratif et la réflexivité à travers les méthodes de l’improvisation théâtrale et de l’éducation populaire.

VALIDATION
Le travail individuel et l’engagement pour le collectif sont évalués sous forme d’un contrôle continu à l’occasion de points d’étape dont les attendus sont précisés en amont. Pour l’intensif, les étudiants mèneront un travail réflexif pour « faire retour » sur ce qu’ils ont appris de la fabrique de l’espace public. Ils réaliseront une mise en récit des projets et processus déployés qui donnera lieu à une restitution collective qui pourra prendre la forme d’une exposition, d’une intervention dans l’espace public ou autre.
Voyage à Berlin

Liens utiles :
lien : https://vimeo.com/312537510
mot de passe : AH!

OBJECTIF
Workshop croisé entre l’École Nationale d’Architecture de Nantes et l’École des Beaux-Arts de Nantes Saint-Nazaire

CONTENU

Dans le cadre du studio de projet d’architecture « Mais qu’est-ce donc qu’un espace public ? » encadré par Bruno Plisson, Pauline Ouvrard, Fabienne Legros et Delphine Coriou à l’École Nationale d’Architecture de Nantes, nous vous proposons un workshop croisé art et architecture avec Georgia Nelson, et Pierre-Yves Arcile.

L’objectif de ce workshop est de confronter les projets présentés par les étudiant-es architectes à une visée expérimentale et plastique apporté par les étudiant-es artistes et créer un débat expérimenté autour des questions sensibles que soulèvent nos espaces publics quotidiens. Pour vous, étudiant-es artistes, l’objectif est de s’emparer des questions urbaines et des projets développés par les étudiant-es architectes par le prisme de vos préoccupations plastiques et de proposer en retour (et avec eux) des situations performées, installées et/ou construites inédites. Ces temps d’échange visent à vous outiller pour penser et concevoir l’espace public tout en expérimentant les manières dont un collectif d’étudiant-es au travail peut lui même « faire espace public ».

Organisation du workshop :
Ce workshop s’organise autour d’un travail quotidien avec les étudiant-es de l’école d’architecture. Il sera rythmé par trois temps forts d’échanges et de production :
– Un temps de découverte et d’échange : présentation et débats critiques autour des projets menés par les étudiant-es architectes.
– Un temps de réflexion et de réalisation : proposition et production de travaux plastiques situé sur les sites de projet, dans l’espace public.
– Un temps de restitution : montage de l’exposition et restitution des travaux.

VALIDATION
Les temps de travail sont journaliers ponctués de rendez-vous communs avec les enseignants tous les jours matin et fin de journée.
Exposition des travaux fin janvier 2022: Gardiennage de l’exposition par les étudiant-es de l’école des Beaux-Arts. Les dates seront affinée en fonction du lieu d’exposition retenu.
Workshop croisé entre l’École Nationale d’Architecture de Nantes et l’École des Beaux-Arts de Nantes Saint-Nazaire

Liens utiles
https://beauxartsnantes.fr/fr/node/19

OBJECTIF
Approcher les différents aspects du fait urbain:
Projet architectural/projet urbain
Paysage:la question du vivant
La construction de l’espace public
Les outils de l’aménagement urbain
La protection du patrimoine….

CONTENU
Cours magistraux le vendredi matin en complément des cours sur la réprésentation.

VALIDATION
Retours en groupes sur les présentations avec recherches complémentaires sur les sujets abordés

OBJECTIF
Dans le cadre de cet enseignement vous serez amenés à développer un projet à différentes échelles à partir de l’observation et de la compréhension d’un territoire.
L’objectif est de se former un regard critique sur le fait urbain, savoir faire appel à un imaginaire et mettre en perspective théorique et culturelle votre démarche de projet.
Il vous sera demandé d’expérimenter un processus de conception impliquant dans le développement d’un projet la manipulation simultanée de deux échelles fortement contrastées: un projet de ville, de territoire et de paysage et des interventions architecturales avec un site et un programme resserrés.

CONTENU
Nous nous intéresserons ce semestre à deux sites à enjeux pour Nantes Métropole:

– le quartier de Jonelière au Nord de Nantes pour un plan paysage et patrimoine
– les deux cités d’urgence Port Durand et La Pilotière pour étudier la densification de ces deux ensembles de logement
– Le lien entre ces deux problématique en questionnant le vis à vis entre les deux rives de l’Erdre.
Attendus : L’objet de cet enseignement est de profiter de l’opportunité de la mise en place de projets pilotés par Nantes Métropole pour comprendre la formation d‘une ville.
L’accent est mis sur la lecture du paysage de la ville, afin d’en reconnaître les sujets urbains et d’éveiller des questionnements.
Votre intervention évaluera les singularités et les spécificités.
A l’échelle de l’architecture, vous serez amenés à dialoguer avec des fragments architecturaux qui informent sur un territoire plus vaste. A l’échelle territoriale, la logique de projet mis en place prendra position au regard d’un périmètre élargi.

VALIDATION
Le semestre est organisé en 4 moments :
1 Analyse/diagnostic
2 Voyage dans une ville européenne
3 Projet avec un jury intermédiaire (fin novembre) et un jury final (mi-décembre)
4 Diffusion (exposition site à définir) /plaquette/site internet (janvier 2023 /Intensif)
Cours thématiques, visites de sites, exposés d’étudiants et débats collectifs, affichages hebdomadaires, corrections individuelles et en groupe, workshops sur place.
Les corrections de projets et jurys intégreront différents intervenants (techniciens et élus, praticiens…).
Nature des travaux demandés : dessins d’architecture, cartographie, croquis, schémas, plans, coupes urbaines, perspectives et photos montage, maquettes à différentes échelles.
Contrôle continu, jurys intermédiaire et jury final

Le semestre débutera par une visite des sites le jeudi 14 septembre. Cette visite nous permettra de comprendre le territoire « avec les pieds » d’avoir des échanges avec les responsables de l’urbanisme de Nantes: Directrice et chefs de projets.

https://coeur-de-villes.nantes.archi.fr).

OBJECTIF
CF fiche atelier

CONTENU

VALIDATION

OBJECTIF

CONTENU

VALIDATION

Destinations des voyages d’études par option :
– « Lignes de partage » : Venise et la biennale d’architecture
– « Mais qu’est-ce qu’un espace public? » : Berlin
– « Coeur de ville » : Paysages flamands